Officiellement, le parcours débute dans le village de Merens que l'on peut rejoindre par le GR-10 qui descend de l'étang de Comte. Etant au camping municipal c'est l'option que nous avons choisie. A ce niveau le sentier longe l'Ariège avant de bifurquer dans le village au niveau du pont. Il faut, ensuite, traverser la RN-20 très fréquentée car c'est la route d'Andorre et la visibilité n'est pas au top. On tourne ensuite à gauche pour rejoindre le pont de fer parallèle au chemin de fer puis prendre directement à droite (balisage blanc et rouge) pour longer le ruisseau de Nabre. Ce n'est pas la partie la plus intéressante du parcours à plus forte raison lorsqu'il fait chaud mais ça permet de couper les nombreux lacets qui nous amènent au début du sentier.
On débouche à l'église romane de Mérens d'en Haut qu'on longe par la gauche avant de bifurquer à droite en direction du lavoir. On poursuit la route un petit moment et, après quelques maisons, on s'engage sur la gauche sur un petit sentier dans les sous-bois.
La montée n'est pas longue mais assez raide et nécessite tout de même d'être bien chaussé. Il faut compter à peu près une quinzaine de minutes de montée à l'ombre des feuillus. La proximité des petits bassins sauvages est annoncée par un filet d'eau coulant sur le sentier. On a un peu de chance, les bassins ne sont pas bondés et on peut tremper les pieds dans le principal. Un filet d'eau coule sur la droite et il est possible de faire le plein de la gourde avant de repartir.
A partir des bassins, deux options s'offrent à nous. Soit on revient par le même chemin, soit on continue sur le GR-10. Sans être incroyable, la deuxième a le mérite de faire une boucle dans la montagne. En continuant sur celle-ci, on aboutit à une fourche, quelques dizaines de mètres après les sources. En prenant à gauche, on longe le flanc de la montagne sur un petit sentier ombragé (balisage jaune) qui n'offre pas réellement de difficulté. On marche pendant une vingtaine de minutes pour arriver à l'intersection avec le GR-107 qui, sur la droite, mène aux bordes de Coual (1h00 de marche). On prend à gauche en direction du village en longeant le ruisseau de Saint-Touret (pas mal de cailoux, le chemin est casse-gueule). Ce dernier est aménagé pour absorber les fortes crues de l'hiver mais reprend son aspect bucolique normal quelques centaines de mètres plus bas (on peut même y tremper les pieds). Le sentier nous amène au lavoir. Prendre ensuite à droite pour redescendre dans le village.
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